Conclusion
A travers cette étude, nous avons pu constater que grâce à son acclimatation rapide, le piment est présent partout sur la planète et est composé de cinq grandes familles : les capsicum annuum, les capsicum battacum, les capsicum chinense, les capsicum frutescens, et enfin les capsicum pubescens.
Peu à peu, outre ses intérêts culinaires, on lui a découvert une autre utilisation dans la médecine. En effet, les vitamines qu'il contient lui confèrent des vertus médicinales non négligeables et recherchées. Grâce à ses différentes actions sur le corps humain, il parvient notamment à préserver les tissus de l'usure, à assurer une meilleure digestion des aliments ou encore à atténuer les douleurs musculaires et certaines névroses. De plus, la découverte récente de sa capacité d'oxydation des aliments et surtout des graisses lui assurent une nouvelle utilité dans la perte de poids.
De notre propre expérience, nous avons appris que ses actions bénéfiques sont aussi dues à la molécule active du piment : la capsaïcine. De la famille des alcaloïdes, c'est elle qui irrite et crée la sensation de brûlure caractéristique du piment, mais son intensité diffère selon sa concentration. Cette concentration est évaluée pour chaque piment grâce à l'échelle de Scoville.
Nous pouvons confirmer que cette molécule est donc la seule responsable des effets ressentis lors de la consommation d'un piment (fort surtout). Une indéfectible sensation de brûlure, cette soudaine impression d'intense chaleur, les larmes aux yeux, et un certain trouble respiratoire pour les piments les plus forts, en sont les conséquences inévitables. Cependant, la moitié d'entre elles ne sont pas réelles au sens propre, mais résultent d'un message nerveux erroné et n'existent donc qu'au niveau du cerveau et non au niveau des tissus.
Aussi, pour contrer ces effets assez désagréables, il faut consommer des aliments contenant des matières grasses car étant miscibles avec la capsaïcine, ils vont baisser sa concentration et donc l'intensité des sensations. Voilà donc pourquoi il ne faut jamais prendre de l'eau mais plutôt du pain ou encore du lait.
Même si les effets de la capsaïcine sur le corps sont incommodes lorsqu'on l'absorbe, ils deviennent nettement plus « plaisants » si la molécule, sous forme d'onguents ou autre, est appliquée superficiellement. En effet, son pouvoir anesthésiant permet de soigner des rhumatismes par exemple mais aussi des démangeaisons cutanées, en empêchant notamment le message nerveux de la douleur d'arriver au cerveau. Mais on lui découvre depuis peu un pouvoir bien plus conséquent comme le soin de maladies graves : le cancer, le diabète, l'obésité,…
Malheureusement, nous avons appris qu’il a aussi connu une période en tant que dopant dans le domaine équestre notamment pour améliorer les performances.
Par ailleurs, nous savons que ces récentes découvertes au niveau médical peuvent assurer un avenir glorieux à cette plante dont on se méfie en général : celui d'être capable de tuer des cellules cancéreuses, d'augmenter la production d'insuline, de brûler les graisses plus rapidement et plus efficacement que des traitements chimiques lourds et dangereux.
Voilà le futur qui attend certainement le piment, supplantant des outils comme la radioactivité ou encore l'injection d'hormones ou l'usage de chirurgie, grâce à un patrimoine naturel et bénéfique.
Enfin, le piment est-il en passe de devenir le médicament de demain, tel l'Aspirine des maladies ?
Quelles découvertes conséquentes peut-on encore faire sur la médecine naturelle ?
Et pourra-t-on réellement quitter les techniques d’aujourd’hui, souvent beaucoup trop dangereuses, en vue d'une médecine plus bénéfique pour le corps humain ?
Peu à peu, outre ses intérêts culinaires, on lui a découvert une autre utilisation dans la médecine. En effet, les vitamines qu'il contient lui confèrent des vertus médicinales non négligeables et recherchées. Grâce à ses différentes actions sur le corps humain, il parvient notamment à préserver les tissus de l'usure, à assurer une meilleure digestion des aliments ou encore à atténuer les douleurs musculaires et certaines névroses. De plus, la découverte récente de sa capacité d'oxydation des aliments et surtout des graisses lui assurent une nouvelle utilité dans la perte de poids.
De notre propre expérience, nous avons appris que ses actions bénéfiques sont aussi dues à la molécule active du piment : la capsaïcine. De la famille des alcaloïdes, c'est elle qui irrite et crée la sensation de brûlure caractéristique du piment, mais son intensité diffère selon sa concentration. Cette concentration est évaluée pour chaque piment grâce à l'échelle de Scoville.
Nous pouvons confirmer que cette molécule est donc la seule responsable des effets ressentis lors de la consommation d'un piment (fort surtout). Une indéfectible sensation de brûlure, cette soudaine impression d'intense chaleur, les larmes aux yeux, et un certain trouble respiratoire pour les piments les plus forts, en sont les conséquences inévitables. Cependant, la moitié d'entre elles ne sont pas réelles au sens propre, mais résultent d'un message nerveux erroné et n'existent donc qu'au niveau du cerveau et non au niveau des tissus.
Aussi, pour contrer ces effets assez désagréables, il faut consommer des aliments contenant des matières grasses car étant miscibles avec la capsaïcine, ils vont baisser sa concentration et donc l'intensité des sensations. Voilà donc pourquoi il ne faut jamais prendre de l'eau mais plutôt du pain ou encore du lait.
Même si les effets de la capsaïcine sur le corps sont incommodes lorsqu'on l'absorbe, ils deviennent nettement plus « plaisants » si la molécule, sous forme d'onguents ou autre, est appliquée superficiellement. En effet, son pouvoir anesthésiant permet de soigner des rhumatismes par exemple mais aussi des démangeaisons cutanées, en empêchant notamment le message nerveux de la douleur d'arriver au cerveau. Mais on lui découvre depuis peu un pouvoir bien plus conséquent comme le soin de maladies graves : le cancer, le diabète, l'obésité,…
Malheureusement, nous avons appris qu’il a aussi connu une période en tant que dopant dans le domaine équestre notamment pour améliorer les performances.
Par ailleurs, nous savons que ces récentes découvertes au niveau médical peuvent assurer un avenir glorieux à cette plante dont on se méfie en général : celui d'être capable de tuer des cellules cancéreuses, d'augmenter la production d'insuline, de brûler les graisses plus rapidement et plus efficacement que des traitements chimiques lourds et dangereux.
Voilà le futur qui attend certainement le piment, supplantant des outils comme la radioactivité ou encore l'injection d'hormones ou l'usage de chirurgie, grâce à un patrimoine naturel et bénéfique.
Enfin, le piment est-il en passe de devenir le médicament de demain, tel l'Aspirine des maladies ?
Quelles découvertes conséquentes peut-on encore faire sur la médecine naturelle ?
Et pourra-t-on réellement quitter les techniques d’aujourd’hui, souvent beaucoup trop dangereuses, en vue d'une médecine plus bénéfique pour le corps humain ?